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Musée d'El Jem
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Description
Créé en 1970 et agrandi en 2002 le musée d’El-Jem réunit deux corps organisés autour de deux patios donnant sur des salles d’exposition désignées du nom des pavements de mosaïque qu’elles abritent. Il a été aménagé à l’emplacement d’une villa romaine dont il restitue l’organisation spatiale. C’est un bâtiment qui présente un plan type de maison méditerranéenne avec une cour centrale et une disposition des pièces autour d’un péristyle. Là sont exposés des objets – sculptures tableaux en mosaïque céramique etc. – provenant de campagnes de fouilles menées aussi à bien Thysdrus que dans ses environs. D’autres objets ont été découverts à la faveur d’opérations diverses de fouilles et de découvertes fortuites dont de nombreux éléments architectoniques qui entraient dans la décoration des somptueuses demeures et édifices publics thysdritains en particulier les beaux et éblouissants pavements de mosaïque qui comptent parmi les plus beaux de l’Antiquité romaine dont le pavement de« la procession dionysiaque » « le couronnement de Dionysos en présence d’un Silène ivre » la mosaïque de «Silène ivre » la mosaïque d’«Orphée » le pavement des «Muses » et celui de « l’échec à l’envieux ». Certaines pièces aujourd’hui fort connues mais sont de longue date déposées dans d’autres musées en Tunisie au musée national du Bardo au musée national de Carthage au musée archéologique de Sousse et au musée de Mahdia et à l’étranger. Outre la mosaïque le musée expose en vitrine de façon permanente un mobilier composé de pièces de tous genres qui à leurs manières éclairent la culture matérielle des Thysdritains. Il s’agit de pièces et d’ébauches d’outils divers et de matières différentes à usage multiple qui illustre de manière très éloquente la richesse et la diversité de l’artisanat de l’époque romaine. La collection de sculptures d’El Jem contient une cinquantaine d’objets constitués de bustes têtes statuettes statues complètes et bas-reliefs. Ils représentent des empereurs des impératrices des divinités masculines et féminines. Une grande partie est exposée dans les salles et jardins du musée l’autre ensemble est réparti entre le musée de Sousse le musée du Bardo le musée de Leiden et celui du Louvre. Le musée donne accès à un « parc archéologique » comprenant les vestiges de trois villas la maison du paon l’une des plus importantes villas du quartier sud-est de la ville la maison des dauphins qui tire son nom de la mosaïque qu’on y a trouvée représentant des dauphins et la Sollertiana domus qui doit son nom à une inscription sur mosaïque de seuil encore en place. Cette maison a par ailleurs livré la mosaïque de la « damnatio ad bestias » figurant des esclaves au teint clair probablement des prisonniers germains achetés pour être livrés aux bêtes. A côté de ces domus la somptueuse maison dite d’Africa. Découverte dans les années 1990 est constituée d’une grande demeure ainsi que d’un ensemble thermal sur une superficie de 3 000 m². C’est une reconstitution d’une partie de la demeure réalisée sur l’emplacement d’une ancienne nécropole. On y trouve une ornementation faite de plaques d’imitation de marbre de différentes couleurs disposées sur les murs de certaines pièces ainsi que des peintures et surtout de mosaïques dont le répertoire iconographique de la mosaïque d’Afrique représentent deux allégories géographiques avec un pavement dédié à la déesse Africa et un autre à Rome et ses provinces.
Créé en 1970 et agrandi en 2002 le musée d’El-Jem réunit deux corps organisés autour de deux patios donnant sur des salles d’exposition désignées du nom des pavements de mosaïque qu’elles abritent. Il a été aménagé à l’emplacement d’une villa romaine dont il restitue l’organisation spatiale. C’est un bâtiment qui présente un plan type de maison méditerranéenne avec une cour centrale et une disposition des pièces autour d’un péristyle. Là sont exposés des objets – sculptures tableaux en mosaïque céramique etc. – provenant de campagnes de fouilles menées aussi à bien Thysdrus que dans ses environs. D’autres objets ont été découverts à la faveur d’opérations diverses de fouilles et de découvertes fortuites dont de nombreux éléments architectoniques qui entraient dans la décoration des somptueuses demeures et édifices publics thysdritains en particulier les beaux et éblouissants pavements de mosaïque qui comptent parmi les plus beaux de l’Antiquité romaine dont le pavement de« la procession dionysiaque » « le couronnement de Dionysos en présence d’un Silène ivre » la mosaïque de «Silène ivre » la mosaïque d’«Orphée » le pavement des «Muses » et celui de « l’échec à l’envieux ». Certaines pièces aujourd’hui fort connues mais sont de longue date déposées dans d’autres musées en Tunisie au musée national du Bardo au musée national de Carthage au musée archéologique de Sousse et au musée de Mahdia et à l’étranger. Outre la mosaïque le musée expose en vitrine de façon permanente un mobilier composé de pièces de tous genres qui à leurs manières éclairent la culture matérielle des Thysdritains. Il s’agit de pièces et d’ébauches d’outils divers et de matières différentes à usage multiple qui illustre de manière très éloquente la richesse et la diversité de l’artisanat de l’époque romaine. La collection de sculptures d’El Jem contient une cinquantaine d’objets constitués de bustes têtes statuettes statues complètes et bas-reliefs. Ils représentent des empereurs des impératrices des divinités masculines et féminines. Une grande partie est exposée dans les salles et jardins du musée l’autre ensemble est réparti entre le musée de Sousse le musée du Bardo le musée de Leiden et celui du Louvre. Le musée donne accès à un « parc archéologique » comprenant les vestiges de trois villas la maison du paon l’une des plus importantes villas du quartier sud-est de la ville la maison des dauphins qui tire son nom de la mosaïque qu’on y a trouvée représentant des dauphins et la Sollertiana domus qui doit son nom à une inscription sur mosaïque de seuil encore en place. Cette maison a par ailleurs livré la mosaïque de la « damnatio ad bestias » figurant des esclaves au teint clair probablement des prisonniers germains achetés pour être livrés aux bêtes. A côté de ces domus la somptueuse maison dite d’Africa. Découverte dans les années 1990 est constituée d’une grande demeure ainsi que d’un ensemble thermal sur une superficie de 3 000 m². C’est une reconstitution d’une partie de la demeure réalisée sur l’emplacement d’une ancienne nécropole. On y trouve une ornementation faite de plaques d’imitation de marbre de différentes couleurs disposées sur les murs de certaines pièces ainsi que des peintures et surtout de mosaïques dont le répertoire iconographique de la mosaïque d’Afrique représentent deux allégories géographiques avec un pavement dédié à la déesse Africa et un autre à Rome et ses provinces.
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